Le Sacre de Lunedor
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Fiche d'Eleska: L'Afle qui forgea son destin

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Message par Koamie Dim 5 Juin - 6:22

/!\ Avant de lire!
Je tiens à m'excuser tout d'abord des fautes d'orthographes et des quelques phrases qui peuvent sembler confuse! J'ai beaucoup d'imagination mais beaucoup moins lorsqu'il sagit d'écriture malheureusement. Bonne lecture tout de même! (Ou bon déchiffrage! : D)

Nom: Eskil

Prénom(s): Eleska
Véritable prénom : Nimgarthiel

Sexe: Féminin

Age: 18 ans

Race: Mi-Alfe, mi-humaine

Taille: 1m71

Poids: 57 kg.

Profession: Forgeron

Physique: Eleska possède un menton qui met en valeur ses oreilles et ses joues rosées. Son nez est assez fin et légèrement pointu, il rejoint deux sourcils verts peu épais. Ses yeux sont également verts et semblent toujours « pétiller » de curiosité. Ses oreilles sont celles d’Alfes : très longues et pointu mais gracieuses. Au début de son aventure, ses cheveux verts sont courts, ils lui arrivent au niveau du bas du cou.
Ses habits sont ceux des classes dans lesquelles elle va évolué tout au long de son histoire.

Mental: Elle est plutôt naïve et s’ouvre difficilement aux autres mais son voyage l’obligera à dépasser sa timidité et à prendre confiance dans ce qu’elle fait. Elle est de nature enthousiaste et se prêtre volontaire à toute expérience. Il n’est pas très difficile d’être amie avec elle même si elle n’offrira pas toute sa confiance au début d’une relation. Cependant elle est assez susceptible et assez borné.

Histoire :

À l’origine, il était écrit dans le Völupsa que les trois fils de Bor sculptèrent dans le tronc d’un arbre le premier homme Ask et la première femme Embla. Odin leur insuffla la vie, Vili l’intelligence, Vé les sens. Ils étaient le premier couple et devaient engendrer l’humanité dans le royaume de Midgard, créé par le corps de Ymir.
Mais ce qui n’a pas été écrit, c’est la naissance du premier enfant dans ce nouveau monde : Elle s’appelait Nimgarthiel et avait été enfantée par Lindòrie de la race des Alfes, fécondée par Ask. Cette rencontre hasardeuse obligea le Père d’élever son enfant avec sa véritable femme Embla, comme les Ases l’avait décidé. Sombrant dans la jalousie et une rancune profonde, la puissante Alfe maudit cet enfant bâtarde en lui prononçant un destin tragique : sa destinée était, désormais, de se sacrifier dans le but de rééquilibrer les forces suprêmes qui préservait ce monde. Ask, prit de remord pour son destin funeste, promit à son enfant qu’elle resterait en vie et qu’il livrerai, à sa place, son corps aux Ases et aux Vanes pour anéantir la malédiction. Par compassion, Embla protégea l’enfant comme le sien mais ne pu le garder assez longtemps pour le voir grandir : elle le confia aux Dryades, habitants cachées vivant en biosynthèse au cœur de l’Yggdrasil.
« Nimgarthiel, confia la Dryade Arwen, tant que tu vivras dans le cœur du monde, ta vie ne sera jamais en danger et ton bonheur sera comblé.»
On raconte que la légende s’arrête là, que la malédiction fut brisée lorsque les corps des Premiers furent consommés.

. . .

«Mamaaan ! Regarde ce que j’ai cueilli !!
- Arwen, je m’appelle Arwen, soupire la Dryade aux longs cheveux verts.
- Arwen ! Regarde la jolie plante que j’ai trouvé !»
De longues plaines de verdures, où poussait une végétation incroyablement belle, jonchées une eau claire provenant de cascades qui semblait tomber du ciel. Dans cette espace vert qui semblait être l’intérieur d’un arbre géant, on pouvait apercevoir une petite fille s’approchant de la Dryade, le sourire aux lèvres tenant dans sa main un fleur jaune dorée. La petite fille n’était vêtue que d’une robe légère et celle-ci flottait avec ses longs cheveux verts, d’une couleur si verdoyante qu’elle semblait être en communion avec la nature.
Arwen se retourna doucement à cause de ses jambes enveloppés dans un tronc et dont les pieds étaient des racines mouvantes.
«Nimgarthiel… Je t’ai déjà dit de ne pas cueillir ces pauvres fleurs ! Tu tues des êtres vivants !
- Mmmmfff! » Soupira-t-elle en gonflant ses joues en signe d’exaspération.
La Dryade prit doucement la fleur cueillie, s’agenouilla et la déposa au sol lentement. Elle joignit ses mains, les paumes face à la plante et une faible lumière brilla à travers ses doigts. De minuscules lucioles s’échappèrent de ses mains et s’enfuit rapidement.
Nimgarthiel, n’était plus émerveillée par cette magie, elle suivait du regard les lucioles, partant des mains et s’envolant, jusqu’à ce qu’elle ne puisse plus les apercevoir.
La lumière s’estompa doucement, et Arwen se releva toujours avec lenteur, laissant découvrir la fleur dorée qui avait reprit racine là où la Dryade l’avait déposée. Elle regarda Nimgarthiel et, avec un temps, lui dit :
« Je comprends que tu aimes ces jolies fleurs Nimgarthiel… Mais je t’ai déjà dit que ce sont des êtres comme toi et moi qui méritent autant de vivre que nous-
- Mais j’en ai marre ! s’exclama l’enfant de la dryade, je m’ennuie ici ! Tout marche au ralentit ! Personne ne peut faire la course avec moi parce que moi j’ai des pieds normaux ! »
La Dryade afficha un visage de surprise. Comment Nimgarthiel pouvait-elle être capable de se qualifier de « normal » alors que les dryades qui l’entourent sont dépourvus de ces membres ? Cet enfant ne pouvait que se comparer à ces êtres enchanteurs puisqu’ils sont les seuls à avoir un corps et un visage d’humain. Arwen se courba légèrement pour toucher les oreilles pointus de Nimgarthiel. Celle-ci chassa le bras de sa mère avec violence. Elle se calma doucement et murmura :
« Je ne suis pas comme vous, les dryades… hein Maman ?
- Ça n’a pas vraiment d’importance, une petite fille comme toi est capable de vivre en harmonie avec la nature, tu dois seulement apprendre et grandir… »
Nimgarthiel sourit à sa mère et repartit d’où elle venait.
Le visage d’Arwen se crispa et comprit que le temps ne jouait plus en sa faveur : voilà bientôt 10 ans que Nimgarthiel était venue dans ce monde trop éloignée du sien. Elle avait la vitalité d’une enfant humaine normale contrairement à la nature lente qui grandit en silence. Cette enfant sentait sa différence et était, à présent, assez mûre pour comprendre qu’elle n’appartenait pas au cœur d’Yggdrasil, même si elle n’en était sûrement pas encore consciente.
Arwen regardait ses mains encore jeunes… Son enfant pensait sûrement qu’elle avait une trentaine d’année et ne comprenait pas son besoin de bouger, mais la vérité, c’est que ses centaines d’années d’expérience la faisait souffrir, de voir cet enfant grandir trop vite : elle savait d’où provenait tout cet énergie qui pendant longtemps avait était conservé dans le cœur de sève d’Yggdrasil. Ask lui avait fait promettre de la « conserver » de son destin funeste en l’enveloppant dans une sève énergique si puissante qu’elle était capable de garder en vie un humain et d’arrêter sa croissance. Il lui demanda alors de la réveiller lorsque le royaume de Midgard sera paisible.
« Qu’attendais-tu de moi Ask en protégeant ta fille ici aussi longtemps ? Comment devrais-je l’intégrer dans son véritable monde sans réveiller l’esprit des Elfes noirs ? » Arwen soupira et pensa qu’il était alors trop tôt pour Nimgarthiel de partir hors d’ici.
Le soir commençait à décliné et les plaines était calmes, quelques dryades passaient encore à la recherche d’un endroit plus confortable pour « s’enraciner » pour la nuit. Arwen, après s’être assuré que Nimgarthiel dormait confortablement entre deux grandes racines couvertes de fleurs violettes, s’enracina à son tour à travers l’herbe dans la racine épaisse qui constituait le cœur d’Yggdrasil. Il était aisément facile pour un humain de vivre au cœur de ce gigantesque arbre cosmique puisqu’il offrait toutes les ressources pour vivre : la chaleur était tempérée et les dryades, golems de bois et autres habitants féeriques se nourrissaient exclusivement de la rosée récolté par les feuilles épaisses qui poussait à l’intérieur même de l’écorce et qui fermait ce lieu sacré. Ce qui permettait de différencier la nuit et le jour dans cet espace fermé était la lumière qui giclait du haut de l’arbre jusqu’à ces racines, la seule végétation à l’intérieur de cet arbre était des gigantesques feuilles poussant sur l’intérieur de l’écorce, semblable à du lierre. Les racines qui traversaient l’intérieur, permettaient de différencier plusieurs étages mais tous semblable : chaque « étage » était traversait par une racine principale, plus massive que les secondaires ; dessus pousser des milliards et des milliards de fleurs toutes plus belles les unes des autres. Elles s’épanouissaient grâce aux réserves de rosée que les racines « creusés » récoltaient. Là plupart du temps, ces réserves étaient toujours pleines et coulaient sans arrêt dans une bruit timide vers les réserves les plus basses. L’Yggdrasil était un lieu saint parfaitement structuré qui permettait à ses rares habitants de vivre en communion avec la nature. Pourtant les êtres humains ne peuvent se satisfaire de l’essentiel et c’est l’erreur fatal que commis la curieuse enfant mi-humaine mi-alfe.
Dans la pénombre, des yeux verts s’ouvrirent brusquement, regardant de gauche à droite. L’ombre aux yeux verts, allongée, se redressa ,se leva sans bruit inspectant chaque recoins obscurs… Elle se glissa doucement à travers les quelques dryades endormis pour rejoindre la « racine principale ». L’extrémité de celle-ci attira les yeux verts fluorescents qui s’arrêtèrent un moment comme par hésitation. Puis l’ombre suivit cette direction se faufilant à travers les feuilles colossales de plus en plus abondantes : preuve qu’elle se rapprochait dangereusement de l’écorce d’Yggdrasil. On entendit un petit rire d’enfant.
Mais l’ombre infantile, qui jusqu’à présent semblait s’amusait de devoir repousser chaque feuille géante qui lui bloquait la vue, s’énervait et s’inquiétait de plus en plus quand les feuilles devenaient abondantes et semblait l’étouffer. L’ombre ne balayait plus cette végétation meurtrières, elle les chassa tant bien que mal : la nature paraissait vouloir « étrangler » l’ombre qui se sauvait de son cœur. Les yeux semblaient courir, dans un bruit d’effleurement infernal, pour tenter de s’échapper et de respirer.
Puis les yeux disparurent et plus aucun bruit. Le calme et la tranquillité à Yggdrasil était revenue.

. . .

Je ne me souviens pas ce qu’il s’est passé ensuite, tout est confus dans ma tête… Je me rappelle seulement d’avoir fermé les yeux une première fois quand j’ai senti l’écorce contre ma tête, et lorsque je les ai réouverts, j’étais au dessus d’une île grise et peut être même violette. Mes pieds ne touchaient plus la douceur des fleurs, je tombais doucement tout en apercevant des nuages gris qui tournaient autour de cet endroit glauque et soudain j’ai senti une rafale de vent oppressante qui m’écrasa en direction du sol. J’ai fermé une seconde et une dernière fois les yeux.
Lorsque je les ai réouverts… tout cela semblait n’être qu’un rêve mais la suite est beaucoup plus dur à imaginer…
Voilà maintenant sept ans que je vis à Ayothaya chez mes parents : Mathilda, ma mère est femme au foyer, approchant de la cinquantaine, elle a préféré abandonner son travail de servante au palais de la ville pour s’occuper des jeunes enfants du village. C’est une femme au grand cœur, toujours soigneuse et tendre avec tous les gens qui l’entoure. Mon père quant à lui est Whitesmith, un forgeron très réputé. Il a plutôt fort caractère mais au fond il ne veut que votre bien. C’est sûrement cette partie en lui qui m’a poussé à choisir la même voie que lui mais bien entendu, il ne voulait rien m’apprendre de ce qu’il savait… La seule chose qu’il su me dire était qu’avant d’obtenir ce rang, il a dû voyager longtemps à travers Midgard pour acquérir toute l’expérience qu’il a aujourd’hui.

. . .

Aujourd’hui j’ai eu dix-huit ans, ma famille et mes amis avons fêter joyeusement cet événement ainsi que mon départ. Je dois avouer que j’ai un peu peur du monde que je vais découvrir mais c’est à la fois très excitant! Donc demain, je prendrais le premier bateau pour me rendre à Alberta pour apprendre le métier de marchand, la première étape de ma longue aventure ! Je suis tellement impatience ! Une nouvelle vie m’attends ! Et je compte bien en profiter à chaque moment ! J’espère également rencontrer plein d’autres aventuriers sur ma route. Bon, je pense avoir assez écrit pour ce soir. Bonne nuit cher journal !

Extra: Si le personnage a un passé aussi "glorifiant" c'est qu'à l'origine ce personnage était un "Role Play GM" si je puis dire...
Le GM était une personne comme les autres mais ses péripéties étaient des events et ainsi permetter d'entraîner les gens à faire du RPG.
Cependant je ne l'ai jamais trop développé à cause de mon manque de confiance et surtout la question du "Comment faire du RP avec 70 joueurs?" :/
Si je poste mon histoire c'est que je pense que Lunedor est propice à accueillir ce type d'event! :3

Voilà merci d'avoir tout lu!
Koamie
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Fiche d'Eleska: L'Afle qui forgea son destin Empty Re: Fiche d'Eleska: L'Afle qui forgea son destin

Message par Lina Dim 5 Juin - 8:14

Une histoire super bien intégrée à la Mythologie Scandinave ! Certes il y a quelques fautes, mais le récit est assez rondement mené pour que ça reste un problème secondaire. (si j'ai la foi je te corrigerai tout ça pour que tu ais ton BG tout beau tout neuf ! ^^)

En espérant se voir IG pour qu'Eleska et Cofy se rencontrent !
Lina
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